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Les grands noms de la psychogénéalogie et leurs concepts

Dernière mise à jour : 1 avr.

La psychogénéalogie a la particularité d'intégrer différentes théories, sur les dynamiques inconscientes de la famille. Comment? cette approche a évolué avec le temps grâce aux découvertes toujours plus précises de talentueuses personnes expertes dans leur domaine:


  • Sigmund Freud (1856-1939)

    Alors qu'il préconisait l'inconscient individuel, il évoque dans son ouvrage "Totem et Tabou", la possibilité d'une Âme collective pour tenter d'expliquer une transmission de l'inconscient d'une personne à l'inconscient d'une autre personne


  • Carl Gustav Jung (1875-1961)

    C'est Jung qui a réellement ouvert la voie d'une approche transgénérationnelle avec sa théorie de "l'inconscient collectif" auquel chacun de nous aurait accès. Il distingue plusieurs strates dans l'inconscient collectif : l'inconscient collectif familial, l'inconscient collectif du groupe ethnique et culturel, et l'inconscient collectif primordial (où l'on retrouve tout ce qui est commun à l'humanité).


  • Léopold Szondi (1893-1986)

    Il est médecin, psychopathologiste hongrois et fondateur de la "psychologie du destin". Il a mis à jour le concept d'inconscient familial et le noyau dur de sa théorie est : "Les gênes de nos ancêtres sont toujours présents dans notre inconscient, déterminant nos choix. De cette façon, nous sommes capables de réaliser ces fardeaux qui nous déterminent encore, puis de travailler dessus pour les rejeter et ainsi nous libérer.


  • Françoise Dolto (1908-1988)

    Elle a œuvré toute sa vie à la lumière des enfants, et concernant notre sujet, elle a participé à la psychanalyse transgénérationnelle qui explique que les comportements et les souffrances d'une personne viennent du vécu et des expériences de ses parents, de ses grands-parents, voir plus loin dans l'arbre généalogique, plutôt que de son propre vécu ou de ses propres expériences.

    Elle a développé l'idée qu'il est important de "parler vrai" à l'enfant considéré comme une personne capable de compréhension et ne jamais lui mentir, ceci dans l'idée d'éviter les secrets, et les non-dits. Elle précise que l'inconscient sait toujours la vérité et qu'il est impossible de lui mentir.

    Elle introduit par la suite le concept de "tout est langage" qui permet de percevoir les sentiments et les intentions dans les regards ou les gestes (paroles, silences, gestes, attitudes, objets, dessins...)


  • Murray Bowen (1913-1990)

    Psychiatre américain et pionnier de la thérapie familiale, il a développé la théorie des systèmes familiaux, une approche systémique qui se concentre sur la famille en tant qu'unité émotionnelle à traiter, plutôt que sur les individus isolés au sein de la famille. Sa théorie se compose de 8 concepts fondamentaux : La différenciation du soi, les triangles, le système émotif familial nucléaire, la mise à distance émotive ou cut-off, le processus de projection familiale, le processus de transmission multigénérationnel, la position dans la fratrie, la régression de la vie en société.


  • Nicolas Abraham (1919-1975) et Maria Török (1925-1998)

    Parmi leurs nombreux travaux, ils ont pu étudier les cas de personnes ayant fait certains actes ou prononcé certaines paroles "comme si ce 'était pas elle", comme si quelque chose ou quelqu'un avait agit à travers elles à ce moment la. Ils émirent l'hypothèse qu'un "fantôme transgénérationnel" s'exprimaient à travers eux, fantôme d'un ancêtre ayant crée lors de son existence une crypte : un secret, un non dit, un acte inavouable, un traumatisme... qui n'aurait pas été métabolisé dans le psychisme de celui qui l'a vécu et serait resté du domaine du refoulé. Les membres des générations suivantes verraient à certains moments un "fantôme psychique" se manifester par des actes et des paroles manquées. C'est ainsi qu'ils posent la question de la transmission psychique transgénérationnelle. Les descendants de porteurs de cryptes seraient ainsi les "lacunes laissées en nous par les secrets des autres". C'est au couple que l'on doit les notions clé suivantes : le secret de famille transmis d'une génération à l'autre ; l'impossibilité du deuil par suite d'irruptions d'éléments liés à la honte ; l'identification à un autre (incorporation) ; l'enterrement d'un vécu inavouable (la crypte)


  • Anne Ancelin Schützenberger (1919-2018)

    Psychologue et psychothérapeute française, elle a crée le génosociogramme, un arbre généalogique constitué de faits marquants et des évènements importants, heureux ou malheureux, relevés sur plusieurs générations. Elle parle de "syndrome anniversaire" lorsqu'un problème présente des similitudes avec un autre survenu dans le passé. Elle écrira de nombreux livres sur le sujet tels que "Aïe mes Aïeux ; guérir les blessures familiales et se retrouver soi"

    En 2006, elle étant sa formation sur la clarification des liens transgénérationnels, les secrets de famille, la loyauté familiale invisible, et les deuils non faits de pertes diverses personnelles et familiales.

    C'est à Anne Ancelin Schützenberger que l'on doit l'essor de la psychogénéalogie, et son grand mérite est d'avoir dévoilé au grand public ses travaux dans son livre "Aïe mes aïeux" pour rendre l'approche du transgénérationnel accessible à tous.

    Le principal concept mis en avant par A. S. est celui du syndrome anniversaire, basé sur le constat que nous sommes, psychologiquement, la résultante de notre histoire familiale sur plusieurs générations. Selon sa théorie, les conflits non résolus faisant partie de la vie de nos ancêtres, ainsi que les non-dits et secrets de famille, peuvent rejaillir ou se répéter sur plusieurs décennies à des dates signifiantes.


  • Ivan Boszormenyi-Nagy (1920-2007)

    Psychiatre américain d'origine hongroise, il est reconnu pour son travail de pionnier dans le domaine de la thérapie familiale et de la psychogénéalogie.

Il considère la confiance, la loyauté, et le support mutuel comme les clés qui caractérisent les relations intrafamiliales et maintiennent la famille unifiée. 

Pour lui et Framo (1965), l'enjeu de toute relation est d’abord d'ordre existentiel : nous avons besoin de la présence des autres pour fonder notre existence en tant que Soi autonome.


Cette vision a un impact fondamental sur la compréhension des effets de la loyauté familiale.

C'est en réalisant à quel point les notions de justice et d'équité étaient importantes dans les relations familiales que Boszormenyi-Nagy a compris que la loyauté jouait un rôle primordial dans les familles.


Le terme  “loyauté” décrit le fait de porter et d’endosser des « dettes invisibles » qui proviennent de notre histoire familiale. Cela peut prendre la forme d’un métier, pratiqué de génération en génération provenant d’une faute ou d’un accident qui n’a pu se réparer ou se résoudre en temps voulu. La « loyauté » peut prendre la forme d'une obligation familiale inconsciente où chaque membre de la famille intègre cette injonction, sans en connaitre les origines, et continue à alimenter une problématique qui remonte parfois à de nombreuses générations.


Les loyautés peuvent continuer à se perpétrer indéfiniment, dans leur logique initiale ou sous des formes parfois très éloignées de l'événement déclencheur ou peuvent également se traduire dans des postures à l’exact opposé de l’injonction familiale invisible. Mais là encore, on peut considérer que cela abonde dans la problématique familiale sans nécessairement permettre au « Moi » profond et authentique de s'exprimer.

Pour réellement et durablement s’extirper de la logique de loyauté (ou de répétition), il convient d’en comprendre les ressorts, les mécanismes et pour cela de discerner les origines. Cela peut se réaliser au travers, entre autre, du génosociogramme.


  • Bert Hellinger (1925-2019)

    D'origine allemande, Il a travaillé pendant 16 ans comme missionnaire directeur d'école en Afrique du Sud. 

Il fut ordonné prêtre, et prend le nom de religion de Suitbert, après avoir fait des études de philosophie, de théologie et de pédagogie. 

Il est devenu psychanalyste et a pratiqué diverses techniques telles que la thérapie primale, l'analyse transactionnelle, ou l'hypnose.

Il abandonne la prêtrise en 1971 et développe dans les années 1990 sa propre thérapie familiale, la constellation familiale. 

L'objectif est de dénouer l'intrication inconsciente que l’on a avec un membre de notre système car nous sommes inconsciemment lié aux membres de notre famille. 


  • Alejandro Jodorowsky Prullansky (1929)

    Est un artiste franco chilien avec de nombreuses compétences artistiques. Selon lui, de nombreuses mémoires sont inscrites dans notre corps. 

Ses différentes expériences de vie professionnelles et personnelles donnèrent naissance à une technique thérapeutique qu'il a appelé la psychomagie, consistant à mettre en scène un acte curatif pour libérer un blocage inconscient.

Pour guérir, il est nécessaire que le patient devienne ce qu'il est véritablement et se libère de l'identité acquise, c'est-à-dire ce que d’autres ont voulu qu'il soit. 


  • Robert Neuburger (1939) 

Psychiatre, psychanalyste, thérapeute et s'occupe plus particulièrement des problématiques du couple.

La famille est un système qui cherche à protéger son intégrité en maintenant l'équilibre à tout prix. Cela implique l'existence de règles, de fonctionnements autorisés et interdits, une hiérarchie interne où on trouve des valeurs dominantes et exclues (ex: prôner le travail acharné, faire une brillante carrière)

Ces valeurs se transmettent et engendrent une profonde identification où au contraire, des ruptures violentes et radicales lorsque l’héritage est trop lourd.

Pour que le système fonctionne, il doit se fabriquer ou des mythes : un ensemble de croyances auxquelles chacun adhère sans les remettre en question, de générations en génération. Elles définissent un certain nombre de valeurs morales et de comportements autorisés et encouragés comme étant « les nôtres ».

Ces mythes ont pour fonction de rassembler entre eux les membres d'une famille sous la même bannière. Cela permet de créer ce fameux sentiment d'appartenance, de maintenir la cohérence interne du groupe et de constituer une vitrine vis-à-vis du monde extérieur. 

Les parents transmettent les mythes familiaux à leurs enfants à travers un ensemble de croyances, de préjugés, et de visions subjectives de la vie mais aussi dans toutes les situations de la vie familiale du quotidien.

"Chez nous, tout le monde fait des études poussées " ; "On est jamais heureux en ménage" 


Que les valeurs familiales soient bonnes ou mauvaises, l'essentiel pour chacun, est de savoir à quoi il obéit, afin de pouvoir s'en affranchir.

Comme l'énonce Neuburger, l’histoire familiale qui crée l'identité et la cohésion du groupe se transmet à travers les générations et définit les places et rôles de chacun au sein de ce qu'il nomme un « mythe familial ».

Selon lui, un évènement traumatique peut avoir des conséquences sur trois générations : la « transmission transgénérationnelle ». 


Neuburger souligne que l'appartenance de l'individu à son groupe, les attentes et rôles dont il est investi ainsi que la reconnaissance de ceux-ci seront garants de son sentiment intime d'exister et de son développement psychique. 


Il a été mis en évidence que la deuxième génération est souvent surinvestie après traumatisme, tandis que l’on observe paradoxalement une indisponibilité affective de la génération traumatisée. Les générations qui suivent celle ayant vécu un traumatisme ont souvent des difficultés accéder à “l'histoire de leur origine". 


  • Didier Dumas (1943-2010)

Psychanalyste et écrivain français, il est considéré comme l'un des pionniers de l'approche transgénérationnelle.  

Pour Didier Dumas, la construction mentale de l’être humain n’est pas individuelle mais transgénérationnelle, elle se constitue, à sa base, chez l'enfant de moins de trois ans, par la duplication inconsciente des structures mentales de ses parents (elles-mêmes, construites en dupliquant les structures mentales des grands parents), ce qui explique que les pathologies dîtes « fantômes » peuvent se transmettre sur plusieurs générations.


  • Vincent de Gaulejac (1946)

    Sociologue et professeur des universités émérite français. 

L'histoire de chaque individu est emboîtée dans une histoire familiale, elle-même insérée dans histoire sociale. Il explore la dynamique de construction d'une personne, face à son histoire, à sa généalogie, aux processus de transmission intergénérationnels, au poids des déterminations sociales. Poursuivant ses réflexions, il montre comment les phénomènes sociaux et psychiques s'amplifient et s'influencent réciproquement, en particulier autour des secrets de famille, de la haine de classe, de la honte sociale ou de l'envie. 


  • Marc Fréchet (1947-1998)

    Est l'inventeur de la théorie des Cycles Biologiques Cellulaires Mémorisés. Il avait cru observer que les événements importants de la vie d’une personne se produisait de manière cyclique : un cycle mémorisé à l'intérieur du cerveau se réactiverait à travers différents évènements de la vie. Ce serait dans la prise de conscience du choc émotionnel mais aussi dans le déblocage de l'émotion qui serait restée comme figée à l'intérieur de la personne, que celle-ci pourrait se libérer de cette répétition (pour la vie post-natale). Autre volet de sa théorie, le projet sens, est l'étude comparée entre notre vie jusqu’à aujourd’hui et une période allant depuis 9 mois avant le désir de notre père et de notre mère de nous procréer et jusqu’à 9 mois après notre naissance. Chaque individu nait du projet d’un homme et d’une femme et chaque naissance est unique. Le projet sens constitue le programme de l'individu auquel il devra répondre toute sa vie, c'est une projection inconsciente des parents sur l’enfant sur laquelle le bébé conçu construira son identité et son devenir. Il se construit sur une période autour de la conception et de la naissance de l'enfant. Ainsi, tous les ressentis émotionnels vécus par les parents à ce moment-là, vont s’imprégner à l'enfant et vont constituer son identité. Cette projection étant inconsciente et automatisée, ni l'enfant ni les parents ne sont coupables. Le travail sur le projet sens est essentiel car il permet une fois mis en lumière d’agir sur le présent et de pouvoir mettre en place des stratégies correctives pour en faire une force et ne plus le subir, mais également de pouvoir comprendre quel type de pathologie nous développons dans notre vie. | 


  • Serge Tisseron (1948)

    Est un psychiatre et psychanalyste français. Après avoir travaillé sur des notions importantes en psycho-généalogie, telles que les secrets, les traumatismes, la résilience et l’empathie, il a complété les travaux de Nicolas Abraham et Maria Torok sur les influences inconscientes entre générations. Ces auteurs ont travaillé sur la façon dont un porteur de secret douloureux organise sa communication langagière d'une façon qui témoigne à son insu du traumatisme qu'il a subi.


  • Myriam Brousse et sa fille Véronique

    Thérapeute et fondatrice de l'École en mémoire cellulaire, auteure de Votre corps a une mémoire, La Descente dans le corps et Le corps ne le sait pas encore. 

Notre corps serait le fidèle gardien des souvenirs enfouis qui ont balisé notre existence, notre naissance, voire des expériences de nos parents et de nos ancêtres. Elle soutient l'existence d’une mémoire corporelle inconsciente, dite « cellulaire » : "À notre insu, le corps porte dans nos cellules notre mémoire, qui va résonner avec régularité au du temps". Sous l'influence de stress ou d'événements en lien avec le choc initial, ces mémoires « réactivées » entrainent des comportements inadaptés et parfois des pathologies, comme des maux de dos, des migraines épouvantables, ou de profondes 

dépressions.

« Tout ce que notre esprit s’est efforcé d'oublier, notre corps le porte en lui, il s' en souvient et continue d'agir en fonction ». 


  • Christian Flèche

    De formation paramédicale, il a, avec Philippe Lévy, créé de nouveaux protocoles en Décodage Biologique TM.

    Les expériences de nos ancêtres déterminent nos propres circonstances et réponses biologiques.

    Un exemple étonnant : les fascinantes vicissitudes génétiques des éléphants d'Afrique, qui pour assurer le continuité de leur espèce naissent sans défenses. Assiégés par le braconnage, les plus jeunes n’ont pas développé l’ivoire tant convoitée qui allait ébranler leur existence même! Transmission des informations de l'inconscient biologique de génération en génération pour la survie et l'évolution de l'espèce.

    Puisque l’inconscient est intemporel, il applique la même solution qui a été adoptée à une situation aujourd'hui, que pour une situation similaire il y a quatre-vingts ans ou même un siècle et demi. Il ne comprend pas que les circonstances ont changé et que, par conséquent, la mesure adoptée à ce moment-là peut ne pas fonctionner pour les besoins ou les désirs actuels. En d'autres termes : ce qui servait autrefois à garantir la survie est maintenant devenu un désordre.

    La médecine la traite d’un point de vue pathologique, avec des procédures cliniques, et la thérapie transgénérationnelle, quant à elle, interprète le trouble comme la solution du corps à une menace et explore la mémoire inconsciente de l'individu, de la famille ou du groupe, afin localiser l’origine. 


  • Salomon Sellam (1955)

    Médecin français et essayiste ayant publié dans le domaine de la psycho-généalogie. Il a présenté à partir de nombreux cas cliniques, le Syndrome du Gisant qui évoque les “réparations transgénérationnelles inconscientes de drames de type décès injustifiés/injustifiables pour la famille”, 

Cela signifie que lorsque la famille vit un drame, le deuil impossible bloqué est à l'origine d'une mémoire transgénérationnelle qui naît de la souffrance des personnes concernées qui sont dans l'impossibilité de faire leur deuil. La famille, inconsciemment, cherche à réparer ce drame en “remplaçant” le défunt. Cette mémoire touche certains membres de la famille de manière inconsciente, et selon lui, un individu peut réparer la mémoire d’un membre du clan, en étant inconsciemment choisi par sa famille pour réparer cette mémoire. ce membre n'est donc pas libre de vivre sa vie pleinement puisqu'il doit également faire "revivre" le défunt symboliquement, avec des conséquences somatiques, psychologiques ou psychiatriques. Cela peut expliquer certaines maladies neurologiques (où la paralysie est présente), certaines maladies digestives, pulmonaires, métabolique (anorexies, boulimies, diabète troubles du sommeil...), psychologique (dépressions, désordres amoureux), psychiatrique (addictions, dépressions, bouffées délirantes, personnalités 

Une approche passionnante qui peut ouvrir des perspectives à la compréhension de mal-êtres inexpliqués !


Antonio Bertoli (1957-2015)

Spécialiste et passionné de la Médecine Nouvelle et la Psycho-généalogie, il a élaborer son approche qu'il a baptisée "Psycho-Bio-Généalogie", basée sur sa "Théorie des archétypes primaires"

Sa thèse de base est que toute manifestation individuelle (symptôme ou trouble psychologique) n'est autre que l'expression d'un déséquilibre entre le masculin et le féminin qui peut se manifester au sein d'une famille. Il a découvert que, derrière chaque maladie, se cache invariablement l'interdiction de faire quelque chose que nous souhaitons (ex : angine : dire ce que l'on pense ; otite : entendre ce qui nous dérange), ou l’ordre de faire quelque chose ne souhaitons pas. 

Nous sommes pétris par l'histoire des générations qui nous ont précédés et par l'évolution de notre espèce, mais notre problème essentiel reste à jamais celui d'être des mâles et des femelles, des pères et des mères, des fils et des filles, pour devenir des Hommes et des Femmes.

La santé réside dans l'authenticité, dans ce que nous sommes réellement, et non dans ce que l'on attend de nous.



Je remercie infiniment Victoria Herrmani pour son magnifique travail.





 
 
 

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